2018-09-01
Ce billet est une continuation de la discussion au sujet du passage à la nouvelle version LTS de Ubuntu. Il est question de la mise à jour de deux logiciels: Virtual Box et l'environnement de développement intégré Arduino. J'ai aussi ajouté un logiciel important à mon arsenal Timeshift pour faire des sauvegardes du système à intervalles réguliers.
Deux points moins importants sont abordés: comment se défaire des icônes géantes et gênantes qui s'affichent dans la liste des messages reçus dans Thunderbird. Ce problème n'existait pas avant. Puis il y a une longue discussion au sujet des polices de Microsoft, qui finit en queue de poisson. Cependant, on y trouvera les instruction pour les installer si l'on veut encore le faire.
Enfin, j'aimerais rappeler qu'il y a un autre billet dans la même veine : Installer Free Pascal et Lazarus avec fpcupdeluxe sur Ubuntu 18.04, qui n'est disponible qu'en anglais actuellement.
Table des matières
Icônes dérangeantes dans Thunderbird
La liste des messages reçus dans Thunderbird était presque illisible à cause d'immenses icônes. C'est un problème que d'autres avaient expérimenté. La solution était simple
La solution provient de deux échanges sur askbuntu Ubuntu 18.04 fresh installation, Thunderbird inbox “invaded” by large icons (coloured emojis) (2018-05-01) et Random large coloured emojis appearing in Thunderbird email list [duplicate] (2018-05-13).
Il est question d'émojis monochromes dans le premier message. En examinant de plus près la question, il semble que ce soit limité à Chromium. Voici la différence entre ce dernier navigateur et ce qu'affiche Firefox.

Cela me semblait sans importance, alors je n'ai pas téléchargé la police nécessaire pour voir les émojis en couleur avec Chromium.
Virtual Box
Comme auparavant, je désirais installer le logiciel libre de virtualisation VirtualBox de Oracle. En premier j'ai installé la version 5.2.10 avec la logithèque de Ubuntu. L'installation semblait bien fonctionner, mais il était impossible de démarrer une machine virtuelle; son écran était complètement illisible.
J'ai donc enlevé cette version avec la logithèque et j'ai installé la version 5.2.18 pour Ubuntu 18.04 ("Bionic") AMD64 à partir de site web du logiciel: https://www.virtualbox.org/wiki/Linux_Downloads.
L'installation a été simple. J'ai affiché le contenu de répertoire où
virtualbox-5.2_5.2.18-124319~Ubuntu~bionic_amd64.deb avait
été sauvegardé dans une des fenêtres de Double Commander
pour cliquer avec le bouton droit de la souris sur son nom et puis j'ai
sélectionné
Ouvrir avec >/Installation de l'application.
Si l'on préfère utiliser le navigateur de fichier standard (Fichiers
(Nautilus), on fait la même chose sauf que le menu
est
Ouvrir avec une autre application/Installation de l'application.
Cette fois, VirtualBox fonctionne correctement. J'ai pu installer la dernière version de Linux Mint 19 comme machine virtuelle sans difficulté.
De la même page qu'auparavant, https://www.virtualbox.org/wiki/Linux_Downloads installez VirtualBox 5.2.18 Oracle VM VirtualBox Extension Pack ce qui permet de prendre en charge les périphériques USB 2.0 et USB 3.0. michel@hp:~$ sudo usermod -aG vboxusers michel référence https://askubuntu.com/questions/25596/how-to-set-up-usb-for-virtualbox How to set up USB for Virtualbox?
Il a aussi été possible de copier les machines virtuelles déjà crées dans
la vieille installation de Ubuntu vers le dossier
~/VirtualBox VMs. Ajouter ces machines à la liste des
machines virtuelles qu'on peut démarrer est très simple. Il suffit de lancer
Virtual Box, de cliquer sur le menu
Machine/Ajouter..., puis de sélectionner le
répertoire contenant la MV à ajouter. Plusieurs de ces machines contenaient
des dossiers partagés qui n'existaient plus sur la nouvelle installation de
Ubuntu, mais cela n'a pas empêché le lancement des MV
et il a été facile d'effacer les dossiers partagés non existants dans les
paramètres de la MV.
Il a été possible d'essayer Linux Mint 19 avec Virtual Box. Puisque cette distribution de Linux est basée sur Debian et Ubuntu, son installation est très semblable à celle de Ubuntu.
La présentation de Mint/Cinnamon est soignée, sobre et intuitive. D'ailleurs, lorsque j'ai passé de Windows à Linux j'avais initialement jeté mon dévolu sur Mint. Je ne me souviens plus quelle était la raison qui m'avait poussé vers Ubuntu, une question de pilote pour un périphérique manquant ? Il y en a que trois qui pouvaient être visés : carte graphique, imprimante/numériseur USB, et carte Wi-Fi/Bluetooth. Il me semble que c'était cette dernière qui était en cause. Le problème est probablement réglé et il pourrait être intéressant de retourner à Mint, sauf pour ce qui est du temps et de l'effort que cela exige.
Timeshift
Une des choses que j'ai aimées dans cette nouvelle version de Mint est l'inclusion de timeshift. Ce logiciel peut créer des «points de restaurations» comme dans Windows. Pourquoi ne pas ajouter ce logiciel dans Ubuntu 18.04&nbps;? J'aurais peut-être évité d'avoir à tout recommencer après mon échec lors du premier ajout de l'EDI Lazarus.
Les instructions (Installation) montrent qu'il suffit d'ajouter un dépôt privé, de mettre à jour la liste des paquets puis d'installer le logiciel.
Le Wiki de l'auteur n'est pas très informatif sauf pour ce qui est de la récupération d'une sauvegarde. Il y a une FAQ, mais elle date de 2013 et il me semble qu'elle contient de l'information désuète.
Settings which are specific to a user are kept in hidden files and directories (starting with a period) in the user's home directory. These files and directories are included by default. Only non-hidden files and directories are excluded.
On peut parcourir les sauvegardes faites avec timeshift ce qui m'a permis de constater que contraire à ce qui est écrit dans la réponse ci-dessus, aucun fichier contenu dans mon répertoire personnel n'était enregistré.

En fait, sauvegarder les fichiers et répertoires cachés des utilisateurs est contrôlé par des paramètres et cela n'est pas fait par défaut.

Il faut cliquer les options encerclées pour le faire. J'ai trouvé cela
un trop inclusif alors j'ai préféré ajouter quelques répertoires de
configurations dans l'onglet Filtre en cliquant sur
le bouton Ajouter des dossiers.
Il faut faire attention à l'ordre des critères d'inclusion et d'exclusion.
Ainsi j'ai du m'assurer que les répertoires cachés .mozilla
et .thunderbird dans /home/michel apparaissent
avant l'exclusion de ce dernier répertoire. On peut voir le résultat,
c'est-à-dire la liste des répertoires qui seront sauvegardés en cliquant sur
le bouton Résumé.
Je ne sais pas pourquoi, mais quand timeshift affiche le contenu des points de sauvegarde à l'aide de Fichier ce dernier est en anglais. Il y a un autre problème qui n'est peut-être pas causé par timeshift, mais il est maintenant nécessaire de démonter puis monter le disque dur sur lequel le logiciel enregistre les sauvegarde.
Voici quelques références (malheureusement en anglais seulement) au sujet de l'application.
- How To Backup And Restore Linux With Timeshift
- https://itsfoss.com/backup-restore-linux-timeshift/
- How to Use Timeshift to Backup and Restore Linux System
- https://www.fossmint.com/backup-restore-linux-with-timeshift/
- Linux Lite Help Manual
- https://www.linuxliteos.com/manual/tutorials.html
Police de base de Microsoft
En écoutant la vidéo Linux Mint 19
For Windows Users de Christopher Barnatt (ExplainingComputers), j'ai enfin fait connaissance de timeshare et j'ai aussi vu qu'il était possible d'installer
les polices de bases (Arial, Times New Roman, Verdana, etc.) de Microsoft sur un système Linux. La
commande pour obtenir ces polices dans Mint est
sudo apt-get install msttcorefonts ne fonctionne pas dans Ubuntu. Le nom de paquet est différent; je l'ai trouvé de
la façon suivante.
Lors du téléchargement du paquet, il faut accepter la licence suivante.
MS Core Fonts
TrueType core fonts for the Web EULA
END-USER LICENSE AGREEMENT FOR MICROSOFT SOFTWARE
IMPORTANT-READ CAREFULLY: This Microsoft End-User License Agreement ("EULA")
is a legal agreement between you (either an individual or a single entity)
and Microsoft Corporation for the Microsoft software accompanying this EULA,
which includes computer software and may include associated media, printed
materials, and "on-line" or electronic documentation ("SOFTWARE PRODUCT" or
"SOFTWARE"). By exercising your rights to make and use copies of the SOFTWARE
PRODUCT, you agree to be bound by the terms of this EULA. If you do not agree
to the terms of this EULA, you may not use the SOFTWARE PRODUCT.
SOFTWARE PRODUCT LICENSE The SOFTWARE PRODUCT is protected by copyright laws
and international copyright treaties, as well as other intellectual property
laws and treaties. The SOFTWARE PRODUCT is licensed, not sold.
1. GRANT OF LICENSE. This EULA grants you the following rights:
• Installation and Use. You may install and use an unlimited number
of copies of the SOFTWARE PRODUCT.
• Reproduction and Distribution. You may reproduce and distribute
an unlimited number of copies of the SOFTWARE PRODUCT; provided
that each copy shall be a true and complete copy, including all
copyright and trademark notices, and shall be accompanied by a
copy of this EULA. Copies of the SOFTWARE PRODUCT may not be
distributed for profit either on a standalone basis or included
as part of your own product.
2. DESCRIPTION OF OTHER RIGHTS AND LIMITATIONS.
• Limitations on Reverse Engineering, Decompilation, and
Disassembly. You may not reverse engineer, decompile, or
disassemble the SOFTWARE PRODUCT, except and only to the extent
that such activity is expressly permitted by applicable law
notwithstanding this limitation.
• Restrictions on Alteration. You may not rename, edit or create
any derivative works from the SOFTWARE PRODUCT, other than
subsetting when embedding them in documents.
• Software Transfer. You may permanently transfer all of your
rights under this EULA, provided the recipient agrees to the
terms of this EULA.
• Termination. Without prejudice to any other rights, Microsoft may
terminate this EULA if you fail to comply with the terms and
conditions of this EULA. In such event, you must destroy all
copies of the SOFTWARE PRODUCT and all of its component parts.
3. COPYRIGHT. All title and copyrights in and to the SOFTWARE PRODUCT
(including but not limited to any images, text, and "applets" incorporated
into the SOFTWARE PRODUCT), the accompanying printed materials, and any
copies of the SOFTWARE PRODUCT are owned by Microsoft or its suppliers. The
SOFTWARE PRODUCT is protected by copyright laws and international treaty
provisions. Therefore, you must treat the SOFTWARE PRODUCT like any other
copyrighted material.
4. U.S. GOVERNMENT RESTRICTED RIGHTS. The SOFTWARE PRODUCT and documentation
are provided with RESTRICTED RIGHTS. Use, duplication, or disclosure by the
Government is subject to restrictions as set forth in subparagraph (c)(1)(ii)
of the Rights in Technical Data and Computer Software clause at DFARS
252.227-7013 or subparagraphs (c) (1) and (2) of the Commercial Computer
Software - Restricted Rights at 48 CFR 52.227-19, as applicable. Manufacturer
is Microsoft Corporation/One Microsoft Way/Redmond, WA 98052-6399.
LIMITED WARRANTY
NO WARRANTIES. Microsoft expressly disclaims any warranty for the SOFTWARE
PRODUCT. The SOFTWARE PRODUCT and any related documentation is provided "as
is" without warranty of any kind, either express or implied, including,
without limitation, the implied warranties or merchantability, fitness for a
particular purpose, or noninfringement. The entire risk arising out of use or
performance of the SOFTWARE PRODUCT remains with you.
NO LIABILITY FOR CONSEQUENTIAL DAMAGES. In no event shall Microsoft or its
suppliers be liable for any damages whatsoever (including, without
limitation, damages for loss of business profits, business interruption, loss
of business information, or any other pecuniary loss) arising out of the use
of or inability to use this Microsoft product, even if Microsoft has been
advised of the possibility of such damages. Because some states/jurisdictions
do not allow the exclusion or limitation of liability for consequential or
incidental damages, the above limitation may not apply to you.
MISCELLANEOUS
If you acquired this product in the United States, this EULA is governed by
the laws of the State of Washington.
If this product was acquired outside the United States, then local laws may
apply.
Should you have any questions concerning this EULA, or if you desire to
contact Microsoft for any reason, please contact the Microsoft subsidiary
serving your country, or write: Microsoft Sales Information Center/One
Microsoft Way/Redmond, WA 98052-6399.
Reference: http://www.microsoft.com/typography/fontpack/eula.htm La phrase en gras me préoccupe. Est-il admissible de publier un document
pdf dans lequel est intégrée une des polices de ce paquet ?
Je ne réalise pas de profits avec les documents que je rends publics ( c'est
plutôt le contraire!), mais ils n'en sont pas moins des
« produits . Le dernier lien ci-dessus ne mène pas à un document au
sujet de la licence, mais à une page de liens au sujet des produits
typographiques de l'entreprise. Un de ceux-ci est vers une FAQ au sujet de la redistribution des polices dans laquelle il y
a le paragraphe suivant.
Suis-je un « éditeur de logiciels indépendant » (traduction libre de Independant Software Vendor) ? Certes je ne suis pas contrôlé par un fabricant de matériel, mais je ne suis ni vendeur ni une entreprise (voir la définition de ISV chez Gartner). De toute façon, il n'est pas question des polices que j'utilisais dans Windows : Times Roman et Arial.
Il s'avère que les polices dans ce paquet datent de 2000 :
Ce que le Wiki de Arch Linux recommande est
d'utiliser les polices qu'on trouve dans une version récente de Windows. Si l'on possède un système avec une partition
Windows, il suffit de créer un lien symbolique dans
le répertoire /usr/share/fonts vers le dossier
Windows/Fonts de la partition Windows.
Ou, l'on peut copier les polices directement (voir le Wiki mentionné ci-dessus
ou Install Microsoft Windows Fonts In Ubuntu 18.04 LTS).
En fin de compte, je n'y comprends rien et j'ai décidé d'éliminer le
paquet ttf-mscorefonts-installer et je n'ai pas
ajouté les polices de Microsoft qui sont sur la
partition Windows. Il faut être cohérent, je désirais
m'affranchir de MS en passant à Linux.
EDI Arduino
On peut obtenir la version 1.8.5 l'EDI de Arduino avec la logithèque d'Ubuntu. Une version plus récente (1.8.6) est disponible mais il faut l'installer manuellement. Télécharger la ici : www.arduino.cc/en/Main/Software. Il est important d'obtenir la bonne version, 32 ou 64 bits selon la version de Linux du système hôte.
L'archive arduino-1.8.6-linux64.tar.xz a été téléchargée
dans le dossier /home/michel/Téléchargements/Arduino et j'ai
décidé d'installer l'EDI dans le dossier /home/michel/ED qui
existe déjà et de continuer d'installer une version dite
« portable » de l'EDI. Cette décision est en partie motivée par
la préférence semblable de Theo Arendst, l'auteur de Sonoff-Tasmota. L'installation est simple.
il s'agit d'extraire tous les fichiers de l'archive
téléchargée dans le répertoire désiré et d'y créer un autre répertoire nommé
portable. Au premier démarrage, l'EDI Arduino
créera les sous-répertoires sketchbook et libraries
qui contiendront les croquis et bibliothèques.

Voici comment j'ai procédé à partir d'un terminal ( CtrlAltT ) :
Le module manquant gère les sons lors d'événements provenant de l'interface utilisateur. L'EDI fonctionne correctement sans ce module. Suivant les suggestions provenant forum ask ubuntu, j'ai installé la bibliothèque manquante.
Le message d'erreur est disparu, mais je n'ai pas observé de changement dans la production de sons dans l'EDI. Cependant, il y a un son sec quand une recherche pour un mot ne donne rien. Était-ce le cas auparavant ?
Il y a trois scripts dans le répertoire
arduino-linux-setup.sh install.sh uninstall.sh
J'ai lancé install.sh qui ajoute l'EDI Arduino au menu
du système (voir le contenu de ~/.local/share/applications).
Le script arduino-linux-setup.sh semble compléter la configuration.
Il ajoute l'utilisateur courant à plusieurs groupes, ajoute des règles
UDEV et ainsi de suite. Par expérience, je sais que je n'ai pas besoin de
tous ces changements, car je n'utilise l'EDI que pour programmer des
microcontrôleurs de type ESPxxxx et Arduino. La commande suivante semble
suffisante.
Il faut soit redémarrer le système soit se déconnecter en tant
qu'utilisateur puis ouvrir une nouvelle session pour que ce changement prenne
effet. J'ai relancé la session, puis j'ai connecté un RedBoard
(l'équivalent d'un Uno) de SparkFun à un port USB
de l'ordinateur. Il n'y a eu aucun problème a compiler puis téléverser le
croquis classique Blink. Le croquis est obtenu avec le menu
Fichier/Exemples/01.BasicBlink.
La compilation et le téléversement se fait avec CtrlU,
avec le menu Croquis/Téléverser ou en cliquant
sur l'icône appropriée sous la barre des menus, la flèche vers la droite.
Il faut que le type de carte et le port à utiliser soient correctement
spécifiés dans le menu Outils. Or l'EDI avait tout fixé
correctement au préalable.
Pour en faire autant avec les microcontrôleur de type ESP8266,
j'ai ajouté http://arduino.esp8266.com/stable/package_esp8266com_index.json
dans le champ URL de gestionnaire de cartes supplémentaires
des Préférences de l'EDI (Ctrl, ou
le menu Fichier/Préférences). Après il faut charger
les définitions de tous les dispositifs basé sur le ESP8266/8285 avec le
Gestionnaire de carte (menu:
Outils/Type de carte/Gestionnaire de carte).
On trouve esp8266 by ESP8266 Community à la toute
fin de la liste mais on peut l'afficher plus rapidement en entrant esp
dans le filtre. La plus récente version est 2.4.2.
Après il a été facile de brancher un Wemos D1 Mini avec un câble USB
et d'y téléverser la version ESP8266 de Blink. Le croquis
n'est pas le même qu'avec l'Arduino. Il est obtenu avec le menu
Fichier/Exemples/ESP8266Blink.
Il faut aussi changer le type de carte dans le menu Outils.
Avec cette nouvelle version de ESP8266/Arduino, le nom de la carte
est maintenant «LOLIN(WEMOS) D1 R2 &mini».
Auparavant, j'avais la version 2.4.1 de ESP8266/Arduino.
Il s'est avéré qu'il y a quelques changements avec la nouvelle version et
l'un des croquis sur lequel je travaille depuis quelques mois ne fonctionne
plus avec la nouvelle version. J'en parlerai plus longuement dans un
prochain billet. En attendant, il est très facile de retourner à une
version antérieure avec le gestionnaire de carte de l'EDI. Pour éviter des
problème difficile à comprendre, il ne faut pas copier
le répertoire portable d'une ancienne version de l'EDI. Il faut
réinstaller les bibliothèques dans une nouvelle version de l'environnement
ESP8266/Arduino. Bien sûr qu'après on pourra copier les
croquis de l'ancien répertoire et tester s'ils fonctionnent toujours.
Gravure de CD/DVD/Blu-ray
Quatre mois après le passage à la version 18.04.1, j'ai installé le logiciel de gravure pour CD/DVD/Blu-RayK3b (KDE Burn Baby Burn) sans trop de difficulté. À la première utilisation, pour copier un CD audio en l'occurrence, l'erreur: « cdrecord has no permission to open the device&nbps;» s'est manifestée. C'est un problème de permission facilement réglé.
La solution se trouve dans la dernière réponse dans le forum de KDE.org. Il y a une bonne explication de la raison d'être de ces commandements dans le forum ask ubuntu de StackExchange.
J'ai aussi voulu extraire les pistes d'un CD audio vers des fichiers
audio numériques de type flac ( Free Lossless Audio Codec). Ce codec est
peut-être moins connu; il est à mp3 ce que png est
à jpeg. La compression se fait sans perte d'information et le
logiciel est libre. La bibliothèque flac n'est pas disponible
par défaut, alors il a été nécessaire de l'installer.
Pour réaliser cette opération, il faut mettre le CD audio dans le
lecteur et attendre un peu que le système d'exploitation reconnaisse le
type de CD. Après cliquer sur le menu Outils pour
sélectionner Rip Audio CD.... Comme on peut voir, la
traduction de K3b vers le français n'est pas
complète. Après on clique sur le bouton
juste au-dessus de la liste des pistes sur le CD. Une fenêtre intitulée
CD Ripping-K3b surgira et on peut choisir
le type de fichier numérique Filetype, dont flac,
dans l'onglet Settings.